Résumé de l'univers

Le monde connait la vie depuis des millions d’années. Son histoire dure depuis plus longtemps qu’on ne pourrait le raconter. Nous ne pouvons pas tellement parler d’histoire plutôt que de légendes.
Les premiers maitres de ce monde furent une race d’êtres immortels, sages et tout-puissants, qui commandaient à la Création. Esthètes et philosophes, leur société était plus resplendissante que tout ce que l’on peut imaginer.
Mais le bonheur ne dure qu’un temps, et le chaos qui s’ensuivit fut à la hauteur de l’ordre qui régna pendant des siècles. Les Dieux disparurent dans une guerre qui changea la face du monde.

Après des années idylliques, chaque être de la Création fut confronté à la réalité d’une vie sans protecteur, et dû apprendre à lutter pour sa survie. Hommes, Elfes, Nains, Drows, Gnomes, Nains, Dragons, Hobbits, Géants, qui avaient bénéficiés du statu-quo des Dieux étaient maintenant seuls, sans guide ni protection. La folie s’était emparé de tous, la haine et les clivages faisaient verser le sang alors que la Mort fauchait tout sur son passage.
De cette période de chaos, les Dragons se forgèrent ce qui allait devenir leur Empire, et émergèrent victorieux.

A l’aube du troisième âge, les Dragons s’étaient établis en maitre absolus.

Ils s’accaparèrent les arts et les sciences, les concentrèrent entre leurs seules griffes. Les autres races trimaient en esclavage sous leur joug. De faibles révoltes s’embrasèrent mais n’eurent jamais la force de triompher, et ainsi la domination des Dragons dura.

Un parti de Dragons, peut être motivés par leur propre quête de puissance, peut être motivés par une pure abnégation, rentrèrent en confit avec leur hiérarchie et suite à un travail de sape millénaire, ils purent mettre à bas leur dictature.

Ayant repoussés leurs anciens maitres jusqu’aux confins du monde, les confinant par-delà leurs montagnes, les anciennes races se retrouvèrent au même dilemme qu’au second âge ; elles durent s’organiser, recréer des Etats, des Nations, en combattant le spectre de le
Les Dragons, définitivement affaiblis et gangrénés de l’interieur, ne purent user des guerres internes de leurs anciens vassaux pour revenir sur le devant de la scène. Leur tyrannie continua, mais sur un territoire bien plus restreint.
Les querelles intestines durèrent des années, avant que la poussière ne retombe et que le monde ne connaisse une paix nouvelle.

Le problème des magiciens s’était posé durant la guerre précédente, et une grande partie de leurs membres se joignirent pour former [Nom à trouver], afin d’éduquer et superviser les pratiquants d’arcane à travers le monde et les empêcher de nuire impunément.
Fiers du découpage des nouvelles nations, les différentes races ont pu commercer, échanger. En marge des flux économiques, on put voir s’afficher des flux culturels ; les grands penseurs de chaque nations s’envoyaient nombres de courriers et partageaient leurs opinions. Ils se rassemblèrent sous le nom de Congrès des Philosophes. D’abord un petit club d’initiés, il grandit en importance quand Legos II, prince Humain, demanda l’arbitrage du Congrès dans une querelle qui l’opposait à son équivalent Nain. Celui-ci gagna en influence jusqu’à avoir un lourd poids dans les discussions diplomatiques.

Le Cinquième âge s’acheva avec la chute définitive de l’Empire Draconique, vieille relique des temps anciens et guère que le pâle reflet de sa gloire passée. Le parti de Dragon qui avait autrefois lutté pour la liberté des peuples vassaux parvint à décapiter l’élite malfaisante. Ils purent enfin ouvrirent leur pays à la diplomatie mondiale et échanger avec leurs voisins.

Le sixième âge regarde le futur avec sérénité. La carte est divisée en 19 puissances, chacune ayant sa propre organisation et sa propre culture. La technologie, bien que loin des anciennes merveilles, avance à un pas rapide. La poudre à canon, encore rare, tend à se démocratiser, tandis que la presse à imprimer est connue depuis quelques dizaines d’années.
[Nom à trouver] reçoit des étudiants de la part du monde entier, les aidant à maitriser leur don, tandis que le Congrès encourage les voyages et les échanges internationaux et supervisent à cette intention plusieurs programmes d’éducation.